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Document Details : Title: The Sequence Repertoire of Egmond Abbey Subtitle: A Study of the Relationship between the 16th Century Sequence Repertoires of the Egmond Bursfelde Missal and the Diocese of Utrecht Author(s): OUDE VRIELINK, J.A.F. Journal: Questions Liturgiques/Studies in Liturgy Volume: 99 Issue: 1 Date: 2018-2019 Pages: 47-72 DOI: 10.2143/QL.99.1.3285828 Abstract : A large discrepancy exists between the number of sequences that are used in mass in late medieval times and the present day. In the 15th century the monastic reform congregation of Bursfelde assembled for itself a missal, which included an own sequence repertoire. By structural comparison of sequence age and usage of the sequence repertoires from Egmond Abbey (which belonged to the Bursfelde congregation) and the diocese of Utrecht, principles for compiling a sequence repertoire in a monastic reform liturgy are revealed in this study. In the Bursfelde liturgy sequences stemming from the 10th and 11th century are preferred, where the school of Notker Balbulus is well represented. Further, there is preference for sequences from the common of the saints instead of unique, feast specific sequences, which leads to a relative small repertoire of sequences. These results mean that there was an appreciation for a tradition of older sequences with loose rhyme instead of newer, hymn-like sequences, which in poetical form would fit with humanist principles from the 15th century. Il existe un écart important entre le nombre de séquences utilisées en masse à la fin du Moyen Âge et aujourd'hui. Au 15ème siècle, la congrégation monastique réformatrice de Bursfelde s'est dotée d'un missel, qui comprenait son propre répertoire de séquences. En comparant structurellement l'âge des séquences et l'utilisation des répertoires de séquences de l'abbaye d'Egmond (qui appartenait à la congrégation de Bursfelde) et du diocèse d'Utrecht, cette étude révèle les principes d'élaboration d'un répertoire de séquences dans une liturgie monastique de réforme. Dans la liturgie de Bursfelde, on préfère les séquences du 10ème et 11ème siècle, où l'école de Notker Balbulus est bien représentée. De plus, il y a une préférence pour les séquences du Commun des saints plutôt que pour des séquences uniques et spécifiques à la fête, ce qui conduit à un répertoire relativement restreint de séquences. Ces résultats signifient qu'il y avait une appréciation pour une tradition de séquences plus anciennes avec des rimes lâches au lieu de séquences plus récentes, semblables à des hymnes, qui, dans leur forme poétique, correspondraient aux principes humanistes du 15ème siècle. |
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