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Document Details : Title: Pastor's Wives in Hungarian Reformed Church in the Mirror of the Church Press between the Two World Wars Author(s): SÁRAI SZABÓ, Katalin Journal: Journal of the European Society of Women in Theological Research Volume: 11 Date: 2003 Pages: 107-117 DOI: 10.2143/ESWTR.11.0.583280 Abstract : Seit dem 18. Jahrhundert wurde das Recht von Frauen zu studieren zur emanzipatorischen Forderung. Die Bildung von Frauen, angefangen bei der Grundschule bis hin zur Universität, gewann an Bedeutung im Hinblick auf die erfolgreiche Ausübung der dreifachen weiblichen Berufung (Ehefrau, Mutter, Hausfrau). Manche waren der Ansicht, dass zu viel Wissen Frauen ihrer ursprünglichen Berufung entfremde, die eigentliche Divergenz bestand jedoch hinsichtlich der weiblichen Rolle außerhalb der Familie. Darf eine Frau eine öffentliche Stellung einnehmen oder muss sie immerzu ihre Familie als Berufung wählen? Welche Möglichkeiten stehen einer alleinstehenden Frau offen? Die calvinistische Presse war an solchen Fragen interessiert. Manche, die weibliche Emanzipation befürworteten, taten dies aufgrund einer liberalen Perspektive, die von der Gleichheit von Frauen und Männern ausging; in der Zeit der Reform (1867) halfen sie verschiedenen, aus der Bahn geworfenen sozialen Gruppen und unterstützten die Bildung und die Beschäftigung von Frauen. Diese Haltung wurde von anderen kritisiert, die sich auf die so genannte christliche Ideologie beriefen und Geschlechtergleichheit nur unter der Voraussetzung anerkannten, dass sie als von Gott geschaffene Ordnung vom Prinzip der Komplementarität der Geschlechter ausging. Depuis le XVIIIe siècle, le droit des femmes à l’instruction est une revendication émancipatrice. L’éducation des femmes de l’école primaire à l’université, devint importante et fut encouragée dans l’optique de préparer les femmes à l’exercice de leur triple vocation en tant qu’épouse, mère et femme au foyer. D’aucuns pensaient que l’accès à l’instruction pourrait détourner les femmes de leur vocation originelle. Le débat, cependant, portait essentiellement sur le rôle de la femme en dehors de la famille. Une femme a-t-elle sa place dans la vie publique ou est-elle à jamais vouée à la famille? Quelles sont les possibilités de la femme célibataire? La presse calviniste s’est intéressée à la question. Un courant qui préconisait l’émancipation de la femme se réclamait d’un point de vue libéral fondé sur l’égalité entre l’homme et la femme. Ses adeptes soutinrent à l’époque de la Réforme (1867) plusieurs groupes sociaux défavorisés et s’investirent pour l’instruction des femmes et leur accès à l’emploi. Ils furent critiqués par un autre courant d’opinion fondé sur l’idéologie chrétienne qui ne reconnaissait l’égalité entre les sexes qu’à condition qu’elle résulte du principe de la complémentarité des sexes comme ordre créé par Dieu. |
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