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Document Details : Title: Empirisch fundierte Argumente für die Studienreform Subtitle: Eine Reaktion of die Artikel zum Thema 'Qualität der theologischen Ausbildung' in Heft 2012-2 Author(s): BECKER, Patrick Journal: ET-Studies Volume: 4 Issue: 2 Date: 2013 Pages: 297-307 DOI: 10.2143/ETS.4.2.3007284 Abstract : The criticism of the current reforms of university studies rightly mentions a formalization of the studies, as it has been introduced in Germany in the form of an obligation to attend all lectures and increasing the importance of regular examinations and examinable notes. The central argument of this article is that such criticism does not go against the intention of the Bologna Declaration of 1999 and the reforms of studies provoked by it. On the contrary, the criticism expresses what was intended by the reforms. The article argues that the central demand of the reforms, that is a style of teaching that is oriented to learning competences, aims at personal development, as is also demanded by those who criticise the reforms. To establish this thesis, new findings from neurobiology and empirical research in education are taken into account. Neurobiology shows us that education involves long-term construction processes, which for the learners implies strategies for solving relevant problems, while empirical research in education shows that learning needs to promote a feedback culture and an orientation towards explicit targets for learning. A didactic foundation for learning shows that these principles correspond to the foundations of an orientation towards competences and so are a core element of the Bologna reform. The author of the article, therefore, asks for the reforms to be implemented in a constructive manner and to take account of its didactic principles. It should then be possible for the perspectives which are common to both the supporters and the critics of the reforms to lead to really better concepts of how to study and also to improved lectures. La critique de l’actuelle réforme des études universitaires mentionne à juste titre une formalisation des études, introduite en Allemagne sous la forme d’une obligation de suivre tous les cours et d’une plus grande importance donnée aux examens et aux notes des examens. L’argument central de cet article est qu’une telle critique ne va pas à l’encontre de l’intention de la Déclaration de Bologne en 1999 et des réformes des études qui s’en est suivie. Au contraire, la critique souligne ce qui était visé par les réformes. L’article soutient que l’exigence primordiale des réformes, à savoir un style d’enseignement orienté vers l’acquisition de compétences, a pour but le développement personnel, également demandé par ceux qui critiquent les réformes. La prise en compte de nouvelles découvertes en neurobiologie et dans la recherche empirique en éducation étaie cette thèse. La neurobiologie nous montre que l’éducation engage des processus de construction à long terme, ce qui implique, pour les apprenants, des stratégies pour résoudre les problèmes qui se posent. De son côté, la recherche empirique en éducation montre que l’apprentissage doit promouvoir une culture du feed-back et orienter vers de clairs objectifs d’apprentissage. Un fondement didactique de l’apprentissage montre que ces principes correspondent aux bases d’une orientation vers des compétences et sont ainsi un élément central de la réforme de Bologne. De ce fait, l’auteur de l’article demande que les réformes soient appliquées de manière constructive et prennent en compte les principes didactiques proposés. Il devrait alors être possible que les perspectives communes à ceux qui défendent les réformes et à ceux qui la critiquent mènent à bien mieux concevoir la manière d’étudier et, également, d’enseigner. |
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