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Document Details :

Title: A Report on Arab-Jewish Negotations during the Young Turk Regime
Author(s): TAUBER, Eliezer
Journal: Turcica
Volume: 31    Date: 1999   
Pages: 471-488
DOI: 10.2143/TURC.31.0.2004198

Abstract :
During the final years of the Ottoman Empire the Arab nationalists were in conflict with the Empire’s rulers, the Young Turks. Striving for autonomy, or even independence for their provinces, the Arab activists considered the Zionist movement a potential ally in their struggle against the Young Turks; they believed in the power and influence of the Zionists and especially in their financial capabilities. The document enclosed herewith, written by Sami Hochberg, a Zionist activist and the editor-in-chief of the newspaper Le Jeune Turc, describes negotiations held in this spirit in 1913 between the Zionist movement and the Syrian Decentralization Party, which culminated in an “entente verbale” between the two movements. However, the basic distrust felt by the party activists towards the Zionists, suspected of collaborating with the Ottoman government and operating under its aegis, eventually brought about the collapse of the negotiations.




Rapport sur les négotiations entre Arabes et Juifs pendant le régime Jeune-Turc
À la fin de l’Empire ottoman, les nationalistes arabes étaient en conflit avec
les autorités de l’Empire, les Jeunes-Turcs. Ils s’efforcaient d’obtenir une certaine autonomie pour leur province, voire l’indépendance et considéraient donc le mouvement sioniste comme un allié potentiel dans leur combat contre le gouvernement Jeune-Turc. Ils croyaient en l’importance du pouvoir et de l’influence des sionistes et particulièrement de leur moyens financiers. Le document présenté ici, écrit par Sami Hochberg, un activiste sioniste et rédacteur en chef du journal Le Jeune Turc, décrit les négociations menées dans cet esprit en 1913 entre le Mouvement Sioniste et le Parti Syrien de la Décentralisation. Ces négociations culminèrent par une «entente verbale» entre les deux mouvements. Cependant, la méfiance ressentie dès l’origine par les activistes du parti envers les sionistes, suspectés de collaborer avec le gouvernement ottoman et d’agir sous son égide mena à la rupture des négociations.


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