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Document Details : Title: Building on Vatican II Subtitle: Setting the Agenda for the Church of the 21st Century Author(s): GAILLARDETZ, Richard R. Journal: Theoforum Volume: 44 Issue: 1 Date: 2013 Pages: 67-90 DOI: 10.2143/TF.44.1.3005431 Abstract : This article is an extended exploration of a famous metaphor that Hermann Pottmeyer once offered regarding the Second Vatican Council. Pottmeyer held that Vatican II was an 'unfinished building site', one in which the council struggled to create a new ecclesial 'edifice' while the remains of the older edifice still stood and continued to exert influence. The article then draws on Ghislain Lafont’s analysis of the emergence, over the course of the second millennium, of a 'Gregorian form' of the church. The author argues that it was this Gregorian form that constituted the 'old edifice' that the council both reacted to and yet had to accommodate. After outlining the basic features of this Gregorian form, the author then proposes six 'pillars' produced by the council as the unfinished foundations for a new ecclesial 'edifice', that is, a new form of the church. The article concludes with an exploration of the challenges that lie before the church as it works to bring the council’s unfinished building project to a conclusion. Cet article est une exploration élaborée d’une célèbre métaphore qu’Hermann Pottmeyer lança une fois en ce qui concerne le Concile Vatican II. Pottmeyer a jugé que Vatican II était un «chantier inachevé», dans lequel le concile a lutté pour créer un nouvel «édifice» ecclésial, tandis que les restes de l’ancien édifice existent toujours et continuent à exercer leur influence. L’article s’appuie ensuite sur l’analyse de Ghislain Lafont, traitant de l’émergence, au cours du deuxième millénaire, d’une «forme grégorienne» de l’église. L’auteur considère que cette forme grégorienne constituait le «vieil édifice» auquel, à la fois, le concile a réagi et pourtant a dû s’adapter. Après avoir décrit les caractéristiques fondamentales de cette forme grégorienne, l’auteur propose six «piliers» générés par le concile comme fondations inachevées pour un nouvel «édifice» ecclésial, c’est-à-dire, une nouvelle forme de l’église. L’article se termine par une exploration des défis auxquels l’église fait face pour mener à sa fin le projet de construction inachevée du concile. |
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